Vicky est une jeune femme partagée entre deux hommes, Hao-hao et Jack. Le soir, elle est employée dans une boîte de nuit pour aider financièrement Hao-hao qui est au chômage. Hao-hao la surveille en permanence, qu'elle travaille ou non. Il vérifie ses comptes, ses factures de téléphone, les messages sur son portable et même son odeur, contrôlant ainsi ce qu'elle fait en son absence. Vicky ne le supporte plus et décide de le quitter pour se réfugier chez Jack.
A travers le portrait d'un producteur berlinos fictif, DJ Ikarus, plongée dans la scène électronique allemande.
Lors d'un festival électro, un apprenti DJ, son meilleur ami, un romantique obstiné, un raté blasé et un couple en difficulté voient leurs vies se croiser et basculer.
Sortant de dépression, un ancien DJ reprend du service avec ses acolytes d'antan lors d'une tournée techno à travers l'Allemagne... Un road-movie électrique et divertissant.
Matthew, un Canadien en rupture de ban, écrasé par l'isolement de sa nouvelle vie à Berlin, tourne ses désirs sexuels vers Matthias, qui se transforme en une sombre fixation sur une identité présumée. Bientôt, cette lutte de pouvoir obsessionnelle entre les deux s'oriente vers une passion et une violence brutales dans une tentative de domination.
Luis, un jeune espagnol qui vient de rompre avec son copain, décide de prendre un peu de repos. Il part le temps d'un week-end à Berlin pour profiter des soirées dansantes. Alors que Luis commence à peine à s'amuser et à faire de nouvelles rencontres amoureuses, des phénomènes étranges vont le mener vers un état hypnotique à la limite de la paranoïa...
Depuis 2013, le collectif Casual Gabberz prend d'assaut les dancefloors et les scènes des plus grands festivals avec sa déferlante gabber, ce son techno hardcore né en Hollande dans les années 90. Avec la sortie de leur compilation Inutile de fuir en 2017, déjà accompagnée d’un film de Kevin Elamrani-Lince, le collectif est absorbé dans un vortex. Pendant trois ans, ils parcourent les scènes d’Europe, dans un périple aussi grisant qu’éreintant, toujours accompagnés par la caméra de Kevin Elamrani-Lince. Jusqu’à ce qu’un virus fasse buguer la planète. Et déclenche une crise existentielle au sein du collectif.
