La Bombe 1966
Une bombe atomique sovietique s'abat en Angleterre. A partir de cette hypothese faite dans le contexte de la guerre froide, Peter Watkins imagine les consequences immediates de l'attaque, l'eventualite et les conditions d'une survie.
Une bombe atomique sovietique s'abat en Angleterre. A partir de cette hypothese faite dans le contexte de la guerre froide, Peter Watkins imagine les consequences immediates de l'attaque, l'eventualite et les conditions d'une survie.
Un portrait révélateur et dévastateur d'un trio de mannequins viennois en herbe. Vivian ne reculera devant rien pour devenir une cover girl de magazine. Lisa occupe son temps avec des opérations de chirurgie esthétique de routine et des beuveries de cocaïne, tandis que l'innocente Tanja se concentre sur le mystique à travers les cartes de tarot, le yoga et l'énergie animale brute.
Un documentaire fictif qui dépeint la ville de Dakar, au Sénégal, à travers la conversation entre un Sénégalais et une Française. En parcourant la ville dans une pittoresque carriole, nous pénétrons les quartiers populaires de la capitale, découvrant contraste après contraste : une petite communauté africaine attendant à la porte de l'église, des musulmans priant sur le trottoir, l'architecture rococo des bâtiments gouvernementaux, les modestes boutiques des artisans près du marché principal...
Le Cerveau d'Hugo est un documentaire-fiction français réalisé par Sophie Révil en 2012, portant sur l'autisme. Il croise des témoignages d'authentiques autistes avec une fiction retraçant la vie d'un autiste, Hugo, depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte, en dépeignant les difficultés qu'il rencontre ainsi que son entourage. Le rôle d'Hugo est tenu par l'acteur Thomas Coumans. Ce documentaire prend sa place dans une évolution de la vision portée sur l'autisme, aussi bien par les professionnels de santé que par l'ensemble de la population, et où le rôle de causes biologiques est de plus en plus mis en avant par la Haute Autorité de santé, au détriment d'une approche purement psychanalytique jusque-là dominante en France.
L'oeuvre de Fernand Pouillon, l'architecte " le plus recherché de France " après avoir été emprisonné et s'être mystérieusement échappé dans les années soixante, semble aujourd'hui être passée en arrière-plan. Il a pourtant construit en 50 ans plus de 5 millions de mètres carrés, principalement entre la France et l'Algérie, à un rythme effréné, parcourant des dizaines de milliers de kilomètres par semaine, en avion à hélice, pour se rendre sur des chantiers la nuit ou à l'aube entre Marseille, Paris, Alger ou en plein milieu du désert, jusqu'à se brûler les ailes. Entre autres, Fernand Pouillon s'est résolu à construire des habitations pour les plus modestes.
"Un pays sans artistes est un pays mort… j’espère que nous sommes vivants..." C'est dans ce film de Fawzi Sahraoui produit par la RTA en 1985 et tourné quelques mois avant que le peintre M'hamed Issiakhem ne s'éteigne que cette phrase est prononcée. Un docu fiction très intéressant dans lequel Issiakhem se livre avec finesse, passion et générosité.
Avec les progrès de la médecine, le vieux rêve de l'immortalité vit une nouvelle jeunesse. Les avancées combinées de la biologie et du numérique pourraient-elles nous permettre d'en finir avec la mort ? À travers le monde, des scientifiques et des entrepreneurs se penchent déjà avec le plus grand sérieux sur la question. La cryogénie se perfectionne, et de nombreux défunts ont confié à des capsules en aluminium leur espoir de défier l'inéluctable. Le clonage, lui aussi, laisse entrevoir cette possibilité. Il suffirait de dupliquer numériquement son cerveau, pour le reproduire, après sa mort, dans un corps "augmenté". Dans le même ordre d'idées, aux États-Unis, une scientifique a transféré les souvenirs et le passé de sa défunte compagne dans le système informatique d'un robot… Oui, l'avenir semble bel et bien rimer avec l'immortalité. Mais à quel prix ?
Aya grandit avec sa mère sur l’île de Lahou. Joyeuse et insouciante, elle aime cueillir des noix de coco et dormir sur le sable. Pourtant, son paradis est voué à disparaître sous les eaux. Alors que les vagues menacent sa maison, Aya fait un choix : la mer peut bien monter, elle ne quittera pas son île.
Sur le modèle du documentaire fiction (alternance de films d'époque, d'entretiens et de reconstitutions avec acteurs), le film commence le 8 septembre 1961 par l'échec de l'attentat de Pont-sur-Seine fomenté contre un convoi routier transportant Charles de Gaulle, alors président de la République, et se poursuit par la lente préparation, la survenue et les conséquences de l'attentat du Petit-Clamart le 22 août 1962.